Willow Guard

Plongée dans un monde fantastique où un ancien royaume animalier, abandonné par ses divinités, tente de survivre face à une menace grandissante. Les Hinterlands de Tersa sombrent à nouveau dans l’obscurité. Des créatures terrifiantes sèment la panique et les derniers défenseurs se font rares. Ghweros, l’un des derniers Willowguards, doit reprendre les armes. Son armure est usée, sa lame a perdu son éclat, mais la mission reste la même : défendre les siens, enquêter sur ces attaques et peut-être percer des mystères enfouis depuis des millénaires. Les donjons en pixel art offrent des environnements à chaque fois différents. Plus d’une dizaine de types d’ennemis attendent de croiser le fer. Chaque affrontement repose sur un mélange d’attaques classiques et de compétences à activer grâce à un jeu de cartes. Ces cartes se récupèrent en explorant, en accomplissant des quêtes et en ouvrant des coffres. Certaines permettent de soigner, d’améliorer l’armure ou même de lancer des dagues. Se frayer un chemin à coups d’épée ne suffit pas toujours. L’exploration mène aussi à des échanges avec d’autres créatures dans un décor dessiné à la main. Chaque discussion permet de glaner des indices et de nouer des alliances. Les dialogues influencent le tempérament de Ghweros grâce au système d’Inclination. Certaines décisions en font un guerrier pragmatique, d’autres un protecteur bienveillant, ou peut-être quelque chose de totalement différent. L’histoire suit un chemin ramifié, privilégiant la densité narrative à la longueur. Une aventure complète s’étend sur 10 à 20 heures, laissant place à plusieurs manières d’écrire la légende des Willowguards.